INTERVIEWS



Violent Scaredy Cats


Violent Scaredy Cats, qu’est-ce qui vous donne envie de devenir violent ?

Louis : Les gens. La connerie des gens. Et le fait de ne pas être compris.

Votre animal totem ?

Louis : Colette.

Maxime : C’est son chat.

Louis : C’est ma chatte.

Aurélien : Le renard roux du désert !

» La suite !



Violent Scaredy Cats


Aurélien : Avant Violent Scaredy Cats, j’avais un petit groupe… On a rencontré Richard, avec qui on a créé quelques compos. Il n’y avait pas vraiment d’objectif, pas de fil conducteur. On jouait un petit peu comme on avait envie de jouer. Jusqu’à ce qu’on rencontre Max, avec qui on a réussi à développer des compos dans un style mieux défini. On a (mal) enregistré quelques titres…

… que vous ne jouez plus aujourd’hui ?

Richard : Non, à part quelques-uns.

» La suite !



Lolito


La chanson honteuse que vous chantez sous la douche ?

Flo : Un truc d’ABBA. Sans hésiter.

Anne (elle chante) : Unbreak my heart, say you’ll love me again…

Matthias : Moi je fais des impros, sous la douche… Ou alors « Luca », de Suzanne Vega.

» La suite !



Lolito


Comment le groupe a été créé ?

Florence : Ce sont les garçons qui sont arrivés d’abord.

Michel : Avec Mathias, on avait des thèmes qu’on jouait à deux, sans savoir ce qu’on allait en faire. Ensuite on a appelé Flo, et puis on a appelé Anne, parce qu’il manquait un chant lead. C’est comme ça que ça s’est créé…

Anne : En fait on s’est organisé une répète, sans vraiment discuter. En entrant dans le studio, je n’avais jamais vu Mathias ni Florence, mais je connaissais Michel depuis longtemps.. Et puis, on a joué, sur un thème que Michel m’avait déjà montré.. Ca duré deux heures, et on n’a discuté ni avant ni après !

» La suite !



Paplib


Quelle chanson honteuse chanterais-tu sous la douche ?

Beyoncé. « All The Single Ladies ».

Qu’est ce que tu peux nous dire sur cet étrange animal qu’est le Flying Lizard ?

Il vole d’arbre en arbre à l’aide de ses ailes rouges.

La Xylocaïne, c’est de la cocaïne en bois ? Est-ce que tu penses qu’on en a pris pour réaliser cette interview ?

Oui. Aux deux questions.

» La suite !



Paplib


Commençons par une question qui brûle les lèvres de nos lecteurs et de tes auditeurs : d’où te vient ce nom incongru qu’est Paplib ?

Ce n’est pas que je souhaite que ce soit secret… mais c’est très personnel.

Voilà qui tombe à l’eau ! Tu t’appelles comme ça depuis longtemps ?

Depuis la naissance du projet solo. Avant ça, je faisais parti d’un groupe rennais, Bellyache, dont certains membres continuent de jouer parfois avec moi, en live comme en album. C’est le cas de Xavier qui m’accompagne à la contrebasse sur les derniers concerts et joue deux titres sur l’album. Le groupe s’est dissout de lui-même après que chacun d’entre nous a suivi son parcours : l’un partait à Paris, l’autre à Tour…

» La suite !



Karaocake


La légende dit qu’un gâteau à la carotte est à l’origine de Karaocake…

Camille Chambon : La légende a raison. J’avais très envie de faire de la musique avec Stéphane (alias Domotic). Je ne le connaissais pas personnellement, même si on avait des amis en commun. C’était il y a cinq, six ans… J’avais déjà vu Domotic en concert ; il jouait de la batterie avec Pokett. Et je connaissais aussi l’autre Stéphane de Pokett. Un jour, on s’est vu au festival d’été Sous La Plage, dans le quinzième arrondissement. Le principe, c’était pique-nique l’après midi, et concerts le soir. Et j’avais fait un karaocake… euh, un carrot cake ! J’en ai donné aux deux Stéphane en leur disant : « j’aimerais bien faire de la musique avec vous ». Et Stéphane, avec un bout de gâteau dans la bouche, m’a répondu : « Oui, oui ! En plus j’aimerais bien me mettre un peu moins en avant… » Tu as dit un truc genre : « plus dans l’ombre ». Et puis il ne s’est rien passé pendant un temps…

Stéphane Laporte : J’étais dans l’ombre !

» La suite !

</