INTERVIEWS



Binoculars


Est-ce que vous pouvez nous raconter brièvement vos parcours musicaux ?

Thierry Chompré (batterie) : Très brièvement alors ! Les lecteurs iront voir mon biopic à la rentrée ! Parmi les trucs marquants, je suis très fier d’avoir bossé avec un groupe qui s’appelle Bed. C’est un projet piloté par Benoît Burello. Il y a eu trois albums depuis 1997, et le projet existe toujours ; il n’est pas très actif en ce moment mais… C’est le meilleur groupe français de tous les temps… avec Binoculars ! (rires)

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Your Happy End


Aurélien Bortoluzzi : Moi, c’est Aurélien, je fais de la guitare et je chante. Je fais un peu de piano et de synthé. J’ai 29 ans, et ça c’est assez important.

Your Happy End est ton premier groupe ?

Aurélien : J’ai commencé quand j’avais 10 ans avec mon père, qui fait du piano. Ensuite, j’ai appris la guitare tout seul, ce que je n’aurais pas dû faire, parce que j’ai eu plein de lacunes par la suite. J’ai longtemps joué tout seul et ensuite, j’ai eu un groupe de metal hardcore avec Guillaume qui s’appelait High Scream. On y a fait nos armes.

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Sexual Earthquake In Kobe


À la base, vous êtes plutôt des clubbers ou des musiciens ?

Charly : Moi, je suis à la base un indie kid confirmé dans la scène emo lilloise !

(rires)

Charly : Non, disons que vers 15-16 ans, j’ai commencé à sortir, à voir plein de concerts. Petit à petit, je me suis dit : « les mecs qui sont sur scène vivent des trucs de dingue ! » À 18 ans, j’ai rencontré Myd, via une pote commune…

Myd : Le gros sujet de rigolade à mon sujet autour de SEIK, c’est que je n’ai pas vraiment eu de période rock. En fait, à l’âge d’écouter du punk-rock, Blink 182 et tout ça, de mettre des badges sur ton sac… je me souviens que j’écoutais Moby. Ensuite ça a dérivé vers Fatboy Slim, Prodigy, et tous les trucs à base de samples… Donc des choses qui restaient assez commerciales. Et les classiques, comme Daft Punk. Vers 14-15 ans, j’ai commencé à faire des morceaux.

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Revival Kensuke


Vous pouvez me présenter votre parcours musical ?

Clément Masson : Moi, j’ai commencé par la batterie. J’ai pris des cours de batterie avec un copain à Issy les Moulineaux. Et puis on a voulu former un groupe… Moi, j’étais moins bon batteur que mon pote, donc j’ai du trouver autre chose : j’ai arrêté la batterie, et j’ai fait du chant. On a commencé un groupe avec Hadrien qui s’appelle Sna-Fu, et dans lequel je chante (le groupe existe toujours). Je suis revenu à la batterie plus tard, parce que j’avais envie d’y retourner, de me remettre à faire du rythme. Et j’ai trouvé ça grâce à Revival Kensuke.

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Toy Fight


Sébastien Broca : Dans Toy Fight, nous sommes trois à chanter alternativement, à peu près le même nombre de titres chacun. Je fais de la guitare acoustique, de la guitare électrique, et parfois un peu de clavier sur scène. J’ai commencé à jouer de la guitare à l’adolescence, vers 13-14 ans. Avant, j’avais fait un peu de piano. Pendant un moment, j’ai fait de la musique tout seul dans ma chambre en essayant de faire des petites chansons. Quand j’ai rencontré David et Maxime, vers 18 ans, je me suis mis avec eux à faire de la musique plus sérieusement, à écrire des chansons, à essayer des trucs.

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The White Loose Woman


La musique ?

Sushi : C’est de l’air.

Yo : C’est une passion. On se laisse aller, on ne pense à rien, on vit sur le moment. Le plus intéressant dans tout ça, c’est le live. Sur scène, Tu oublies tout. Tu fonces. Tu partages tout avec les gens autour de toi, et ils réagissent. D’habitude, je suis dans l’analyse par rapport à la musique, mais il n’empêche que quand tu joues, c’est l’émotion qui ressort… Ca affecte aussi ton rapport au temps. Il y a un truc bizarre qui se passe en live, comme si le temps s’arrêtait, et que tu te trouvais dans un moment qui ne se finit jamais.

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