interview



Loki Starfish


Quelle est la chanson que tu adores chanter sous la douche ?

Jérémie Lapeyre : « Dull Flame Of Desire » de Björk, sur l’albumVolta. Plus trivial, « Les Vendanges de L’Amour » de Marie Laforêt ou « La Belle Vie » d’Hervé Villard.

Quel métier voulais tu faire quand tu étais petit ?

Tout d’abord vétérinaire.

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Loki Starfish


Salut Jérémie, toi qui es aujourd’hui seul face à nous. On aurait à ce sujet une question assez évidente : pourquoi toi et pas les autres ?

Jérémie Lapeyre : Je suis l’instigateur du projet. Quand les autres membres sont arrivés dans le groupe, j’avais déjà composé les quinze titres, écrit les textes, composé et enregistré les morceaux. Je les avais même prémixés ! Et puis chacun des membres a plusieurs projets parallèles. Il est par fois difficile de réunir tout le monde, on a donc décidé de concert que je m’occuperais de la promo.

Qu’ont-ils apporté à ton projet ?

C’est sur le live que leur apport a été le plus important. Et puis ils ont intégré le processus créatif sur les nouveaux morceaux, que cette fois-ci nous avons composés ensemble.

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Peru Peru


J’ai déjà interviewé Benoît et Olivier, pour notre numéro sur Luminocolor. « Tout a commencé par un morceau-blague », m’avaient-ils dit au sujet de Peru Peru.

Julie : Oui, c’était simplement un instru de Damien (de Dylan Municipal) sur lequel on avait ajouté des voix.

C’était la première fois que vous faisiez de la musique ensemble, Amélie et toi ?

Julie : Non, avant le morceau, je crois qu’on avait déjà fait un concert.

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Pilöt


Pour commencer, est-ce que chacun d’entre vous pourrait présenter un autre membre du groupe ?

Antoine : Salut, tu t’appelles Victor. (rires) Victor sur scène, c’est le bassiste-clavier. Il fait un peu de chœurs. C’est le « monsieur machine », le dingue d’électronique. On le surnomme Surcouf ! (rires) Il gère toute la technique, tout le travail d’ingé son. Il compose aussi. Voilà, c’est Victor.

Victor : Antoine, c’est le guitariste sur scène. Il fait pas mal de clavier aussi. Il compose quasiment tous les morceaux. Et puis qu’est-ce qu’il fait d’autre ? Des claquettes, pas trop mal…

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OK


Vous avez une formation un peu inhabituelle : deux batteurs et un guitariste-chanteur. Comment est-ce que ça s’est mis en place ? Guillaume, tu as cherché des batteurs spécialement pour le projet, ou c’est plutôt né de votre rencontre… ?

Guillaume Magne : En fait j’avais des morceaux dans un coin, que j’ai commencé à monter sur un quatre-pistes à cassettes, et très vite ça m’a passionné de m’occuper beaucoup du rythme. Du coup, en live, j’avais envie de faire quelque chose de très rock n’roll, j’aime vraiment jouer de la guitare électrique très fort, et puis j’adore la batterie, c’est mon instrument préféré, avec la guitare électrique. Je connaissais Seb et Jérémie, et je trouvais ça cool de monter ce projet avec eux et d’essayer ce truc à deux batteries.

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Violent Scaredy Cats


Violent Scaredy Cats, qu’est-ce qui vous donne envie de devenir violent ?

Louis : Les gens. La connerie des gens. Et le fait de ne pas être compris.

Votre animal totem ?

Louis : Colette.

Maxime : C’est son chat.

Louis : C’est ma chatte.

Aurélien : Le renard roux du désert !

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Violent Scaredy Cats


Aurélien : Avant Violent Scaredy Cats, j’avais un petit groupe… On a rencontré Richard, avec qui on a créé quelques compos. Il n’y avait pas vraiment d’objectif, pas de fil conducteur. On jouait un petit peu comme on avait envie de jouer. Jusqu’à ce qu’on rencontre Max, avec qui on a réussi à développer des compos dans un style mieux défini. On a (mal) enregistré quelques titres…

… que vous ne jouez plus aujourd’hui ?

Richard : Non, à part quelques-uns.

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