Neil Young



2014 par l’équipe


Le meilleur de 2014, tout au moins d’après l’équipe de Subjective, se trouve quelque part entre Philadelphie, Yogjakarta et Buenos Aires. En 2014, les « grosses guitares » font encore sens, la soul a toujours bon goût, les influences hétéroclites de la dernière demi-douzaine de décennies sont passées à la moulinette d’artistes encore et toujours innovants.

Ought – « The Weather Song »

Cette année j’ai décrassé mon ampli, changé le diamant de ma platine et beaucoup écouté le premier LP de Ought. Je m’y suis retrouvé en terrain familier, pas très loin de Sonic Youth, tout près de The Fall. Peut-être pas le comble de l’originalité, donc, mais ce disque me permet de répondre à mon ami Thomas Darras : bien sûr que si, la musique à guitares peut encore être excitante en 2014 !

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NEIL YOUNG / Psychedilic Pill (2012)


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Neil Young est à bien des titres un vestige. Aux abords de sa soixante septième année Neil Young enregistre un généreux album de près d’une heure et demie. Ce n’est pas son meilleur disque, loin s’en faut, mais After The Gold Rush a déjà été chroniqué sur ce site, alors bon… Le premier des huit morceaux originaux constituant ce marathon électrique dure près d’une demi-heure à lui seul. Excusez-moi d’insister sur ces précisions chronométriques un tantinet indigestes, mais manifestement la notion de compromis n’a toujours pas été bien assimilée par Monsieur Young.

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NEIL YOUNG / After The Gold Rush (1970)


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La chanson « After The Gold Rush » (que Radiohead reprend d’ailleurs en concert !) est encore une de mes chansons préférées. Je trouve la mélodie absolument magnifique. J’aime beaucoup Neil Young. Quand j’étais encore dans ma période grunge et Pearl Jam, j’adorais le Neil Young électrique. Neil Young a d’ailleurs joué avec les membres de Peal Jam sur son album Mirror Ball, qui est un petit peu oublié maintenant, il faut le dire !

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