deerhoof



MAC DEMARCO


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Voilà, j’aurais bien choisi un morceau de Deerhoof parce qu’en ouvrant facebook je suis tombé sur la playlist qu’ils viennent de faire pour Entertainment Weekly.

Et comme avant ça je savais pas trop quoi choisir j’ai pris ça pour un signe mais ensuite j’ai vu que y’avait déjà deux personnes qui avaient fait une chronique Subjective à propos de Deerhoof

(c’était pas très grave mais j’avais pas envie d’en faire une troisième).

Donc je savais plus trop quoi faire

et puis

hhhhghh ah

hhhhhghhfhhhh ben si

ggggggghhggghhgggggg je suis bête

ffffffffffffffffffhhhhffhffffffffffffffffffffffffffff pourquoi pas

ffffffffffffffffhfffffffffffffhhhfffffffffffffffffffffffffff Mac

fffffffffffffffffffffffffffffhffffifhffhhffffffffffffffff DeMarco

fffffffffffffffffffffffffffffffffffffhffhhhhfffffff Le talent à la cool
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DEERHOOF / OFFEND MAGGIE (2008)


DeerhoofOffendMaggie

En matière de galvaudages qui font rien qu’à m’énerver, l’utilisation des termes « expérimental » et « indépendant » pour qualifier tel artiste ou telle zizique sont exemplaires. Un son et des cheveux cracra suffisent bien souvent à qualifier tel groupe d’« indie ». Ajoutez à cela trois ukulélés, un chanteur à pantalon stretch fluo et une intro de plus de 5 minutes et le même groupe se verra immédiatement apposer l’étiquette d’expérimental. Alors certes, il y a une limite au discours sur la musique. Comment parler de ce qui tend vers le transcendant, vers l’indicible ? Pour autant, il n’en reste pas moins que la moitié du plaisir en musique, c’est d’en faire, la deuxième moitié, c’est d’en écouter… et la troisième, c’est d’en parler. Et qu’en plus là on me demande de le faire, et pas tout seul devant le miroir de la salle de bain comme quand je joue à être interviewé par Nagui, mais en vue d’une publication sur Internet. Alors je m’y colle, et dans le but de redonner un sens aux termes suscités en plus, en me faisant fort de démontrer en quoi ils collent à merveille à mon album préféré (Offend Maggie) de mon groupe préféré (Deerhoof).

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DEERHOOF / The Runners Four (2005)


Deerhoof The Runners Four

Mon album favori, de l’un des groupes les plus inventifs que je connaisse. Avec Deerhoof, les chansons sont le plus souvent au centre du propos, ce qui en fait un groupe pop. Sauf qu’ils font péter toutes les ficelles qui tiennent les morceaux, exceptées les plus essentielles. Du coup, ça tient toujours à peu près debout et ça reste lisible. J’adore l’extrême élasticité rythmique dont ils font preuve, sans jamais pour autant sacrifier le groove. Le jeu à 2 guitares est monstrueux. Ça me rappelle AC/DC pour l’efficacité et le son (mais en miniature) et Arto Lindsay pour la folie.

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