OK



Lolito et OK @ Espace B, Paris (04.08.2012)


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OK et Lolito @ Espace B, Paris (08.04.2012)


Notre photographe Aliosha nous rapporte les informations suivante. (Cela ressemble drôlement à du teasing, ou alors nous n’y connaissons rien…)

Alors perso je suis allé à l’Espace B (leur chiottes).

Les chiottes de l'Espace B

 

Est-ce que j ai vu les  OK ? Oui et ça a défoncé terrible !

OK à l'Espace B

 

Et les Lolito ?  C’était  magnifique ! ;)

Lolito à l'Espace B

 



OK : ‘Wet’ release party dimanche à l’International


Dimanche soir, OK viendra conclure sa tournée à l’International (Paris 11) par la release party de son nouvel EPWet. Nous vous avons déjà dit, en début de semaine, tout le bien que nous pensions de ce groupe intense, de ses formidables nouvelles chansons, et de sa formule live.

Le concert est organisé par Balades Sonores, avec le soutien de Carton Records, d’Oocto (plateforme de financement participatif qui a permis à Wet de voir le jour) et de vos dévoués sousignés.

En première partie de soirée : Gilles Poizat et Piscine Olympique.

OK - Wet release party

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OK @ La Péniche (12.03.2012)


Lundi soir, la tournée du groupe OK passait par Lille. Nos projets grandiloquents de retour à La Péniche ayant capoté — je vous passe les détails sordides — c’est l’excellente agence locale Ah Bon ? qui s’est chargée de dégoter une date au trio symétrique. Thank God.

Ç’avait beau être un lundi soir, il y avait du monde près de la Deûle. Était-ce avant tout pour découvrir sur scène Persian Rabbit ? Peut-être bien.

Supergroupe lillois, avec des musiciens très appliqués, très concentrés, et surtout très concernés par le chant de leur frontman Sushi (de feu White Loose Woman, nous devons le rappeler). En même temps, comment ne pas se sentir concerné par le chant de Sushi, hé ? Il ne semble avoir peur de rien, certainement pas d’écarter trop grand les mâchoires. Son corps a beau toujours tressailler de douleur, dirait-on, je ne l’ai jamais entendu chanter aussi bien. Envoûtant dès les premières secondes, le concert laissait présager un bel avenir pour ce nouveau projet.

OK venait présenter son nouvel EP, Wet. Sapé classe, barbe magistrale, Guillaume Magne était un peu le roi du monde au milieu de ses deux batteurs.

OK à la Péniche le 12 mars 2012

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AC/DC / High Voltage (1976)


acdc high voltage

Le premier album d’AC/DC, un vrai joyau de rock’n’roll. La vidéo ci-dessous est particulièrement splendide, c’est le titre d’ouverture de l’album.

Je me dis régulièrement qu’AC/DC est le meilleur groupe de rock. Ces mecs ont la foi. Quelle idée, ce T-shirt de Superman ! Et cet acolyte guitariste/mascotte déguisé en écolier ! 10, 20, 30, bientôt 40 ans plus tard c’est toujours un standard. Le son de la guitare de Malcom, c’est de la folie, ça m’excite totalement. Celle d’Angus, c’est tout aussi incroyable. C’est habité comme rarement (le petit mec a 17 ans sur cet album ; durant certaines phases, on croirait entendre un bluesman de 60 ans). Phil Rudd a un son et un tempo taillés dans un rocher et Bon Scott chante terrible.

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HANK ROBERTS, JIM BLACK, MARC DUCRET / « Trees » (2008)


HANK ROBERTS, JIM BLACK, MARC DUCRET

Un trio de la scène jazz avant-gardiste New-Yorkaise avec Hank Roberts au violoncelle et au chant, Jim Black à la batterie et Marc Ducret à la guitare. J’ai acheté l’album Green parce que j’adore ces trois musiciens individuellement, mais je ne connaissais pas ce projet. En le mettant dans ma chaîne je me suis pris une grosse claque (une autre). Je m’attendais à de la musique improvisée (les trois susnommés sont de grandes références en la matière) et je tombe sur une espèce de blues folk. On y découvre également la voix incroyable de Hank Roberts. Je chante cette chanson à tue-tête dans ma voiture en pleurant… (comme avec « If I » de Piers Facini, et « Petite Marie », mais on ne va pas revenir là-dessus.)

par Seb Brun

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DEERHOOF / The Runners Four (2005)


Deerhoof The Runners Four

Mon album favori, de l’un des groupes les plus inventifs que je connaisse. Avec Deerhoof, les chansons sont le plus souvent au centre du propos, ce qui en fait un groupe pop. Sauf qu’ils font péter toutes les ficelles qui tiennent les morceaux, exceptées les plus essentielles. Du coup, ça tient toujours à peu près debout et ça reste lisible. J’adore l’extrême élasticité rythmique dont ils font preuve, sans jamais pour autant sacrifier le groove. Le jeu à 2 guitares est monstrueux. Ça me rappelle AC/DC pour l’efficacité et le son (mais en miniature) et Arto Lindsay pour la folie.

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