In The Canopy



In The Canopy révèle son premier clip – « 1,2,3,4 Hands »


Nous avons eu aujourd’hui le plaisir de découvrir le tout premier clip d’In The Canopy –  « 1,2,3,4 Hands » – réalisé par Vincent Rouffiac.

C’est peut être l’histoire d’une chute, sûrement celle d’un drame, d’une ballade qui finit mal. Le mouvement fait l’objet d’un traitement minutieux, en accord avec la montée d’énergie qu’on retrouve dans le titre « 1,2,3,4 Hands ». On vous laisse découvrir.

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2013 par nos obsessions


Petit exercice classique mais toujours apprécié, la revue de l’année est cette fois-ci composée d’une sélection de titres triés sur le volet par nos obsessions. Celle de l’équipe Subjective suivra la semaine prochaine !

(Please) Don’t Blame Mexico : De La Jolie Musique / « Plein Soleil »

La chanson de l’année, tout simplement !

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Subjective / La compil !


sub5ANS

Subjective fêtait récemment ses 5 ans d’existence. 5 ans, 42 obsessions pop, plus de 80 concerts dans le cadre des soirées SUBJECTIVE LIVE !

Pendant ces 5 ans une vingtaine de personnes se sont activées pour faire tourner la machine ; vidéastes, photographes, rédacteurs, régisseurs, programmateurs, graphistes, chargés de com….

Mais surtout, Subjective a réussi a fidéliser ses lecteurs en nageant à contre courant de la mode du zapping. Lorsque Subjective présente un focus, elle s’y attarde, ne survole pas et s’attache à proposer un contenu éditorial original et fouillé.

Pour ses 5 ans, Subjective voulait – comme on dit – marquer le coup. L’équipe s’est creusé les méninges, a concentré son souffle vital et son énergie la plus pure. Le résultat, une compilation – SUBJECTIVE 5 ANS ! – qui rassemble 19 de nos obsessions pour plus d’une heure de bonheur incommensurable et de douces jouissances auditives.

Fière comme jamais, Subjective ajoutera le 23 décembre un cadeau de plus aux pieds du sapin de ses lecteurs. Quelques heures avant le passage de l’illustre personnage à barbe blanche, Subjective proposera en téléchargement libre cette compilation qui rassemble le meilleur de 5 années d’obsessions musicales, réalisée grâce au soutien de groupes et musiciens à nos yeux emblématiques de la « touche » Subjective.

Au menu : Isaac Delusion, Night Riders, Hard Working Boss, Loki Strafish, Fiodor dream Dog, In The Canopy, La Féline, Wolves & Moons, et gardons les autres noms pour la surprise !

Bonnes fêtes à tous, et longue vie à Subjective !



IN THE CANOPY – LIVE @ DAME DE CANTON


Phénomène capturé par nos caméras, In The Canopy reprend « Teardrop »  de Massive Attack en live.

In The Canopy – Live @ Dame de Canton, par Subjective from Subjective on Vimeo.

Par David Hardiller

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IN THE CANOPY


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Après une immersion visuelle, textuelle, sonore, après vous avoir présenté l’univers musical de In The Canopy, obsession de la rentrée, Subjective vous invite à nouveau à rejoindre la strate supérieure de l’écosystème Art-rock Parisien. In The Canopy répond aux questions concoctées par nos soins  :

In the Canopy, c’est un groupe art rock, non que l’on soit obsédé par les étiquettes, mais pourriez-vous nous en dire un peu plus ?

Thomas Martinez : Le matériau guitare/synthé/basse/batterie est un formidable générateur de sensations brutes, des plus noires aux plus lumineuses. Le défi, c’est de partir explorer des territoires rythmiques et harmoniques où ce matériau rock n’a encore jamais mis les pieds.

Joachim Müllner : Oui… Nous utilisons ce terme à la fois pour la puissance qu’il évoque et que nous travaillons à déployer sur scène et dans nos compositions, et le côté libre de ton et planant que nous aimons.

Les harmonies de voix et l’électronique, la voix et la complexité des structures sonores, In The Canopy commence par la voix ou par la texture sonore ?

Thomas Martinez : D’abord, on allume le feu de cheminée… Puis, pour le moment, on se pose souvent autour pour y composer un guitare voix. Ensuite, on installe le tapis sonore adéquat… Et enfin on dépose les ornementations qui viennent finalement teinter les compositions de ces harmonisations notamment vocales que nous aimons partager…


« Déployer sur scène et dans nos compositions le côté libre de ton et planant que nous aimons »

On imaginerait un processus complexe de création, où chaque instrument pourrait initier la composition d’In The Canopy, qui commence ?

Thomas Martinez : On pourrait dire que nos morceaux ont plusieurs vies. Et pourtant, jusqu’à présent, chaque nouvelle composition est livrée quasiment clef en main, avec une direction très précise au niveau des arrangements. Mais les idées fusent ensuite dans tous les sens et la créature échappe souvent à son géniteur.

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LA CANOPEE VUE PAR IN THE CANOPY


Nous vous emmenons dans ce qui restera la toute première visite guidée de notre Canopée. N’essuyez pas vos pieds en rentrant… Attention à la marche en descendant du train… Pas de crainte pour vos têtes, il n’y a pas de plafond.

En premier lieu, la Canopée est le nom donné à l’étage supérieur des forêts notamment tropicales. C’est au sein de cet espace transitoire entre ciel et terre que se développe un écosystème spécifique, directement exposé au rayonnement solaire. Cette région protégée des prédateurs terrestres notamment humains, est un avant-poste de choix pour étudier le monde du contre bas. C’est aussi en feignant de laisser derrière soi les lois de la gravité et de la pesanteur que l’on peut y grimper, embrasser le ciel et prendre l’air. Lorsque la lumière décline, les grands primates y montent se choisir une alcôve pour établir leur nid, leur cache, leur refuge. Les plus hautes branches trouvent leur force de projection dans les sèves issues des plus lointains sous-sols. Dans notre Canopée, la frondaison est perpétuelle. » La suite !



DEERHOOF / OFFEND MAGGIE (2008)


DeerhoofOffendMaggie

En matière de galvaudages qui font rien qu’à m’énerver, l’utilisation des termes « expérimental » et « indépendant » pour qualifier tel artiste ou telle zizique sont exemplaires. Un son et des cheveux cracra suffisent bien souvent à qualifier tel groupe d’« indie ». Ajoutez à cela trois ukulélés, un chanteur à pantalon stretch fluo et une intro de plus de 5 minutes et le même groupe se verra immédiatement apposer l’étiquette d’expérimental. Alors certes, il y a une limite au discours sur la musique. Comment parler de ce qui tend vers le transcendant, vers l’indicible ? Pour autant, il n’en reste pas moins que la moitié du plaisir en musique, c’est d’en faire, la deuxième moitié, c’est d’en écouter… et la troisième, c’est d’en parler. Et qu’en plus là on me demande de le faire, et pas tout seul devant le miroir de la salle de bain comme quand je joue à être interviewé par Nagui, mais en vue d’une publication sur Internet. Alors je m’y colle, et dans le but de redonner un sens aux termes suscités en plus, en me faisant fort de démontrer en quoi ils collent à merveille à mon album préféré (Offend Maggie) de mon groupe préféré (Deerhoof).

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