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Violent Scaredy Cats


Violent Scaredy Cats, qu’est-ce qui vous donne envie de devenir violent ?

Louis : Les gens. La connerie des gens. Et le fait de ne pas être compris.

Votre animal totem ?

Louis : Colette.

Maxime : C’est son chat.

Louis : C’est ma chatte.

Aurélien : Le renard roux du désert !

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Violent Scaredy Cats


Aurélien : Avant Violent Scaredy Cats, j’avais un petit groupe… On a rencontré Richard, avec qui on a créé quelques compos. Il n’y avait pas vraiment d’objectif, pas de fil conducteur. On jouait un petit peu comme on avait envie de jouer. Jusqu’à ce qu’on rencontre Max, avec qui on a réussi à développer des compos dans un style mieux défini. On a (mal) enregistré quelques titres…

… que vous ne jouez plus aujourd’hui ?

Richard : Non, à part quelques-uns.

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Violent Scaredy Cats


Simplifions. Dans la grande famille de la scène rock française, on rencontre plusieurs catégories d’obsédés. Il y a par exemple l’obsédé méthodique, celui qui aime tout décortiquer. Au plus fort de sa névrose, il n’est pas rare qu’on le découvre éveillé dans sa cuisine vers 5h du matin en train de comparer le son d’une Leffe brune et d’une Affligem triple quand on les verse dans un verre. Il enregistre les deux effets sur un Nagra dernier cri et note ses observations dans un carnet Moleskine de format A5, revêtu d’une peau de mouton. A Subjective, on aime bien ce type de zikos psychotique qu’on a souvent mis à l’honneur de notre webzine.

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Les Violent Scaredy Cats appartiennent à un autre genre d’obsédés et on les aime tout autant. Au début, je pensais qu’ils étaient Anglais. Je les imaginais en train de jouer dans des caves à Sheffield ou à Manchester, un peu dandys, un peu crades, devant un public surchauffé où les visages évoquent vaguement les personnages de Full Monty. En fait, ils viennent d’Amiens – seul le chanteur est British – mais ils trimbalent avec eux cet héritage anglo-saxon qu’ils cherchent à sublimer. Obsédés par l’efficacité, ils ont un sens inné du rythme qui, presque par effraction, va s’incruster dans votre mémoire, devenir indélogeable, et changer la couleur des nuits en un violet sombre et épileptique.

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