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We Are The Romans!


Racontez-moi vos parcours musicaux.

Bernard : J’ai commencé avec Anthony. On était au lycée ensemble. Je faisais de la guitare. Lui était à la basse et au chant. On faisait du metal et du hardcore. Et puis, il y a trois ou quatre ans, chacun a commencé à avoir son projet individuel. Maintenant, j’ai un autre projet dans lequel je gueule, qui s’appelle Every Reason To.

Anthony : La musique fait partie de la culture familiale chez moi. Mon oncle est guitariste, mon père est batteur. Mais mes parents m’ont laissé le choix de faire de la musique ou de ne pas en faire. J’ai principalement appris en autodidacte. J’ai pris quelques cours, mais ça ne s’est pas bien passé… Quand je suis arrivé au lycée à Paris, j’ai rencontré Bernard et on a commencé à faire de la musique ensemble.

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We Are The Romans!


Ils assument tout, sans bien savoir ce qu’il leur arrive. Nous aussi, nous non plus.

Un tribute band — non merci. Sauf si c’est ma copine qui m’emmène voir « One Night Of Queen » chez Coquatrix. Il est vrai que pour Queen, tout est remis à plat : ce monde-là obéit à d’autres règles… pourquoi pas à celles du théâtre ? Mais enfin, et c’est peu de le dire, les tribute bands font généralement peine à voir : leurs misérables costumes, leur guitariste du dimanche matin, et leur public de comité d’entreprise (comme dit ma copine).

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Je me suis inquiété tardivement des liens intimes qui semblaient unir We Are The Romans! au groupe Botch. La messe était déjà dite, le contrat moralement signé. J’ai donc appelé Vivien pour me rassurer. « Non, ce n’est pas un tribute« , m’a-t-il certifié avec l’assurance de celui qui a potassé. « Musicalement — rien à voir avec Botch ».

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