wolves & moons



WOLVES & MOONS / DREAMER (2014)


Wolves &  Moons – Brother

Le premier clip de Wolves & Moons est sorti. Le titre « Dreamer » prend tout son sens avec l’animation/stop-motion onirique où l’on suit les déambulations d’un bestiaire varié. Enfermé au bureau par ce beau temps ? Wolves & Moons te prend par la main pour une balade en forêt.

Ce vidéo-clip a été réalisé entre mars et octobre 2013 par Richard Allen (auteur-compositeur-interprête de Wolves & Moons), Bertrand Hazard et Simon Lefebvre. Richard et Bertrand avaient déjà réalisé à quatre mains le visuel de la pochette de l’EP Brother dont le titre « Dreamer » est extrait.

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Subjective / La compil !


sub5ANS

Subjective fêtait récemment ses 5 ans d’existence. 5 ans, 42 obsessions pop, plus de 80 concerts dans le cadre des soirées SUBJECTIVE LIVE !

Pendant ces 5 ans une vingtaine de personnes se sont activées pour faire tourner la machine ; vidéastes, photographes, rédacteurs, régisseurs, programmateurs, graphistes, chargés de com….

Mais surtout, Subjective a réussi a fidéliser ses lecteurs en nageant à contre courant de la mode du zapping. Lorsque Subjective présente un focus, elle s’y attarde, ne survole pas et s’attache à proposer un contenu éditorial original et fouillé.

Pour ses 5 ans, Subjective voulait – comme on dit – marquer le coup. L’équipe s’est creusé les méninges, a concentré son souffle vital et son énergie la plus pure. Le résultat, une compilation – SUBJECTIVE 5 ANS ! – qui rassemble 19 de nos obsessions pour plus d’une heure de bonheur incommensurable et de douces jouissances auditives.

Fière comme jamais, Subjective ajoutera le 23 décembre un cadeau de plus aux pieds du sapin de ses lecteurs. Quelques heures avant le passage de l’illustre personnage à barbe blanche, Subjective proposera en téléchargement libre cette compilation qui rassemble le meilleur de 5 années d’obsessions musicales, réalisée grâce au soutien de groupes et musiciens à nos yeux emblématiques de la « touche » Subjective.

Au menu : Isaac Delusion, Night Riders, Hard Working Boss, Loki Strafish, Fiodor dream Dog, In The Canopy, La Féline, Wolves & Moons, et gardons les autres noms pour la surprise !

Bonnes fêtes à tous, et longue vie à Subjective !



Wolves & Moons 13/07/2013 @Amiens


L’espace d’un instant. Une mélodie vous absorbe, une ballade à la campagne, vous êtes charmés par cette folk, nous aussi. Wolves & Moons nous emmène au cœur de son univers poétique sous un arbre au milieu de la nature.

Arrêtez vous, écoutez et savourez..

Crédit photo : Marguerite De Verdun et David H.

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La rentrée avec Wolves & Moons


L’été est un moment particulier. Sa chaleur, ses pluies passagères, l’odeur du sable, la douceur de ses couleurs. C’est aussi un moment apprécié des dilettantes, qui, à l’ombre d’un arbre, oublient les affres qui parsèment le quotidien des trois autres saisons. L’emploi du temps devient une notion aux contours flous, le rasoir rouille, posé sur un coin du lavabo, le réveil n’a pas sonné depuis bien longtemps.

Tout cela a une fin. C’est généralement dans le premier quart de septembre qu’on se décide à reprendre le cours de sa vie. SUBJECTIVE a cette année pris une longue pause estivale. En voici la fin, nous reprenons du service. Nous pouvons d’ores et déjà vous annoncer que le prochain concert organisé par nos soins aura lieu à l‘International le 26 septembre, IGIT et Hard Working Boss s’y partageront l’affiche. Encore plus excitant, nous annoncerons très prochainement les groupes qui seront nos prochaines obsessions.
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D’ici là, essayons de garder en tête toutes les sensations agréables de l’été, qui n’est d’ailleurs pas tout à fait terminé. Pour cela, voici une vidéo de Wolves & Moons interprétant Away au beau milieu d’une forêt, de ses oiseaux qui gazouillent. Concoctée par Romain Al. et fonctionnant comme un pense bête, elle vous empêche littéralement d’oublier que les vacances ne sont pas si loin. Ajustez le volume sonore suffisamment fort pour que la scène traverse votre écran, vous entoure, et que le bruissement des feuilles des arbres vous paraisse palpable.
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Bonne rentrée
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L’équipe de SUBJECTIVE
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MILES DAVIS / Kind Of Blue (1959)


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Inutile d’écouter le morceau suivant si la température baisse, si le vertige ne vous a pas encore fait trébucher dans les limbes, si vous pensez maîtriser l’espace qui vous entoure, ou encore pire, si vous n’êtes pas à ce point exténué, que vos obsessions vous dictent encore quoi faire. Il vous faut abandonner l’Homme, muer vers une personnalité que vous n’avez peut-être jamais connu, sans prétention, désapprendre, oublier et s’émerveiller.

Certains diraient, à juste titre, que ce monument d’album est le point influent de la musique dans la dernière moitié de siècle, tellement sa richesse, son bon sens, sa complexité et sa maitrise sont grandioses. D’autres, comme des rats, voudraient privatiser son écoute (cupides salopards avaricieux), pour concentrer le savoir et le pouvoir que renferment ces 45 minutes et 44 secondes de vertu. Enfin, à la limite, n’importe qui croirait, par vantardise, savoir expliquer, interpréter « So what ». Probablement inondé d’une connexion télépathique inédite avec le feeling du sextet, à la session précise de l’enregistrement, ce fameux 2 mars 1959 …

Finalement , ce que j’en dis : je vous conseille tout simplement de ne rien retenir de tout cela (et donc d’avoir lu ces lignes inutilement). Car oui, ce qui me fout les poils ne peux pas être dit, mais joué.

Par Louis Morati



WOLVES & MOONS / Brother


Prends un plaid, quelques fruits frais, un livre de John Fante ou d’Henry Miller et Brother, le dernier EP de Wolves et Moons. Monte sur ton vélo et pédale jusqu’à la prochaine forêt. Trouve un endroit à l’ombre où l’herbe et moelleuse et déguste le tout allongé avec une clope à la main.

Par Nicolas Fait

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BERT JANSCH


Bert+Jansch

L’idée de pouvoir un jour rencontrer le bonhomme, musicalement et humainement, m’a poussé davantage à pratiquer l’instrument qui pour lui a été dès son plus jeune âge un vieil ami.

Un sens de la mélodie hors du commun, des doigts puissants et une attitude décontractée. Une guitare ne pouvait que rêver de tomber entre ces mains avant qu’il ne la repose encore vibrante d’émotion. Rosemary Lane, 1971 un album de vie (« Bird Song »), de mésaventures (« Nobody’s Bar »), de rêves (« A Dream, A Dream, A Dream »), d’amour (« Tell me what is true love ? « ), toutes des chansons qui je sais me feront toujours la même impression.

Une simplicité qu’il faut rappeler en ces temps de « beats » acharnés. Traditionnel, folk, blues, la plupart du temps inclassable, voila du génie dont le monde aurait pu profiter, mais encore trop tard pour l’homme en question.

Par A. Richard

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