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THE VELVET UNDERGROUND


the velvet undergroud

C’était les parents de Sonic Youth, mais comme j’étais trop jeune, Sonic Youth me parle davantage. Dans le Velvet, il y a quelque chose de très intéressant et d’hyper libre. Je trouve qu’ils ont été un peu utilisés et pourtant, cela a rendu leur musique populaire, alors même qu’elle n’est pas du tout facile d’accès. Il y a plein de relations avec le pop art et avec les études, et tout prend sens dans ce contexte.

par Anthony Gauchy

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NULL AND VOID


null and void

Je les ai découvert récemment. C’est un groupe californien du début des années 1980. Une espèce de post-punk avec des synthés très lourds et parfois des morceaux très lents qui font penser à Suicide. C’est assez bizarre. C’est souvent sur des blogs que je trouve des groupes comme ça… En l’occurrence, c’était sur un blog qui s’appelle Mutant Sounds, et qui parle surtout de tout ce qui est expérimental et noise. Null And Void a vraiment sorti des perles et je ne comprends même pas pourquoi ça n’a pas mieux marché pour eux. Aujourd’hui, c’est super difficile à trouver.

par Bernard Quarante

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DAVID BOWIE


david bowie

Je veux parler de David Bowie dans son ensemble, avec toutes les relations qu’il y a autour — avec les Stones notamment. David Bowie pour ses ambiances, pour tout ce qu’il dégage. Il a collaboré avec beaucoup d’artistes et en a révélé de nombreux, comme Klaus Nomi, qui dégage une ambiance de froid pur que l’on retrouve un peu dans We Are The Romans!

par Louis Carbonier

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We Are The Romans!


Racontez-moi vos parcours musicaux.

Bernard : J’ai commencé avec Anthony. On était au lycée ensemble. Je faisais de la guitare. Lui était à la basse et au chant. On faisait du metal et du hardcore. Et puis, il y a trois ou quatre ans, chacun a commencé à avoir son projet individuel. Maintenant, j’ai un autre projet dans lequel je gueule, qui s’appelle Every Reason To.

Anthony : La musique fait partie de la culture familiale chez moi. Mon oncle est guitariste, mon père est batteur. Mais mes parents m’ont laissé le choix de faire de la musique ou de ne pas en faire. J’ai principalement appris en autodidacte. J’ai pris quelques cours, mais ça ne s’est pas bien passé… Quand je suis arrivé au lycée à Paris, j’ai rencontré Bernard et on a commencé à faire de la musique ensemble.

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We Are The Romans!


Ils assument tout, sans bien savoir ce qu’il leur arrive. Nous aussi, nous non plus.

Un tribute band — non merci. Sauf si c’est ma copine qui m’emmène voir « One Night Of Queen » chez Coquatrix. Il est vrai que pour Queen, tout est remis à plat : ce monde-là obéit à d’autres règles… pourquoi pas à celles du théâtre ? Mais enfin, et c’est peu de le dire, les tribute bands font généralement peine à voir : leurs misérables costumes, leur guitariste du dimanche matin, et leur public de comité d’entreprise (comme dit ma copine).

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Je me suis inquiété tardivement des liens intimes qui semblaient unir We Are The Romans! au groupe Botch. La messe était déjà dite, le contrat moralement signé. J’ai donc appelé Vivien pour me rassurer. « Non, ce n’est pas un tribute« , m’a-t-il certifié avec l’assurance de celui qui a potassé. « Musicalement — rien à voir avec Botch ».

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