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Pilöt


Pour commencer, est-ce que chacun d’entre vous pourrait présenter un autre membre du groupe ?

Antoine : Salut, tu t’appelles Victor. (rires) Victor sur scène, c’est le bassiste-clavier. Il fait un peu de chœurs. C’est le « monsieur machine », le dingue d’électronique. On le surnomme Surcouf ! (rires) Il gère toute la technique, tout le travail d’ingé son. Il compose aussi. Voilà, c’est Victor.

Victor : Antoine, c’est le guitariste sur scène. Il fait pas mal de clavier aussi. Il compose quasiment tous les morceaux. Et puis qu’est-ce qu’il fait d’autre ? Des claquettes, pas trop mal…

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OK


Vous avez une formation un peu inhabituelle : deux batteurs et un guitariste-chanteur. Comment est-ce que ça s’est mis en place ? Guillaume, tu as cherché des batteurs spécialement pour le projet, ou c’est plutôt né de votre rencontre… ?

Guillaume Magne : En fait j’avais des morceaux dans un coin, que j’ai commencé à monter sur un quatre-pistes à cassettes, et très vite ça m’a passionné de m’occuper beaucoup du rythme. Du coup, en live, j’avais envie de faire quelque chose de très rock n’roll, j’aime vraiment jouer de la guitare électrique très fort, et puis j’adore la batterie, c’est mon instrument préféré, avec la guitare électrique. Je connaissais Seb et Jérémie, et je trouvais ça cool de monter ce projet avec eux et d’essayer ce truc à deux batteries.

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Violent Scaredy Cats


Violent Scaredy Cats, qu’est-ce qui vous donne envie de devenir violent ?

Louis : Les gens. La connerie des gens. Et le fait de ne pas être compris.

Votre animal totem ?

Louis : Colette.

Maxime : C’est son chat.

Louis : C’est ma chatte.

Aurélien : Le renard roux du désert !

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Violent Scaredy Cats


Aurélien : Avant Violent Scaredy Cats, j’avais un petit groupe… On a rencontré Richard, avec qui on a créé quelques compos. Il n’y avait pas vraiment d’objectif, pas de fil conducteur. On jouait un petit peu comme on avait envie de jouer. Jusqu’à ce qu’on rencontre Max, avec qui on a réussi à développer des compos dans un style mieux défini. On a (mal) enregistré quelques titres…

… que vous ne jouez plus aujourd’hui ?

Richard : Non, à part quelques-uns.

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Lolito


La chanson honteuse que vous chantez sous la douche ?

Flo : Un truc d’ABBA. Sans hésiter.

Anne (elle chante) : Unbreak my heart, say you’ll love me again…

Matthias : Moi je fais des impros, sous la douche… Ou alors « Luca », de Suzanne Vega.

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Lolito


Comment le groupe a été créé ?

Florence : Ce sont les garçons qui sont arrivés d’abord.

Michel : Avec Mathias, on avait des thèmes qu’on jouait à deux, sans savoir ce qu’on allait en faire. Ensuite on a appelé Flo, et puis on a appelé Anne, parce qu’il manquait un chant lead. C’est comme ça que ça s’est créé…

Anne : En fait on s’est organisé une répète, sans vraiment discuter. En entrant dans le studio, je n’avais jamais vu Mathias ni Florence, mais je connaissais Michel depuis longtemps.. Et puis, on a joué, sur un thème que Michel m’avait déjà montré.. Ca duré deux heures, et on n’a discuté ni avant ni après !

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Paplib


Quelle chanson honteuse chanterais-tu sous la douche ?

Beyoncé. « All The Single Ladies ».

Qu’est ce que tu peux nous dire sur cet étrange animal qu’est le Flying Lizard ?

Il vole d’arbre en arbre à l’aide de ses ailes rouges.

La Xylocaïne, c’est de la cocaïne en bois ? Est-ce que tu penses qu’on en a pris pour réaliser cette interview ?

Oui. Aux deux questions.

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