charly lazer



The Yolks


The Yolks, c’est ce moment de la journée où, sorti de la douche, tout juste séché, je fonce dans ma chambre prendre mes dernières affaires en finissant de m’habiller. Une douche qui dure 13 minutes 05 secondes car même si on est pressé par le temps, l’eau chaude sur la peau est un pur délire, quand j’y pense.

THEYOLKS02_LD

Dire adieu à toutes les obligations. Cette tentation qui surgit n’importe quand dans la journée. Bien sûr qu’y résister serait probable preuve de maturité, mais à quoi bon renoncer à la jeunesse ? The Yolks est un groupe très juvénile. Pourtant c’est rigolo, ma rencontre avec eux fut calme et douce. Ils n’avaient pas l’air de foncer tête baissée, et paraissaient très posés, peut-être par excès de timidité.

» La suite !



JOAKIM / Milky Ways (2009)


Joakim Milky Ways

Joakim a mangé trop de Milkyways, passé trop de nuits de 11 heure comme moi à rêver qu’il était dans un champ dans un concert de Kanye West au ras des pâquerettes à danser comme un fou alors que les autres gens ne comprennent rien car c’est trop bien (je parle du rêve). J’ai adoré Joakim. Très pop industrielle (pas commerciale) à l’heure de ces collaborations avec Katerine, très pop disco futuriste et dessinée avec Monster & Silly Songs. Là il revient, et il est concept. 10 chansons et autant de raisons de s’accrocher au génie qu’il est ou de se jeter du World Trade Center (encore un rêve). Il décolle les étiquettes. Mais on peut définir ça comme une mixture noise-disco-pop-expérimentale. Entre les mélodies de Metronomy, les vocoders de Laurie Anderson et le côté branleur doué de Shiko Shiko. C’est vraiment bon, mais invendable. Ca va faire un tabac !

par Charly Lazer

» La suite !



Sexual Earthquake In Kobe


À la base, vous êtes plutôt des clubbers ou des musiciens ?

Charly : Moi, je suis à la base un indie kid confirmé dans la scène emo lilloise !

(rires)

Charly : Non, disons que vers 15-16 ans, j’ai commencé à sortir, à voir plein de concerts. Petit à petit, je me suis dit : « les mecs qui sont sur scène vivent des trucs de dingue ! » À 18 ans, j’ai rencontré Myd, via une pote commune…

Myd : Le gros sujet de rigolade à mon sujet autour de SEIK, c’est que je n’ai pas vraiment eu de période rock. En fait, à l’âge d’écouter du punk-rock, Blink 182 et tout ça, de mettre des badges sur ton sac… je me souviens que j’écoutais Moby. Ensuite ça a dérivé vers Fatboy Slim, Prodigy, et tous les trucs à base de samples… Donc des choses qui restaient assez commerciales. Et les classiques, comme Daft Punk. Vers 14-15 ans, j’ai commencé à faire des morceaux.

» La suite !

</