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Binoculars


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BINOCULARS #4. Live


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BINOCULARS #3


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BINOCULARS #2


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BINOCULARS #1


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Binoculars


Est-ce que vous pouvez nous raconter brièvement vos parcours musicaux ?

Thierry Chompré (batterie) : Très brièvement alors ! Les lecteurs iront voir mon biopic à la rentrée ! Parmi les trucs marquants, je suis très fier d’avoir bossé avec un groupe qui s’appelle Bed. C’est un projet piloté par Benoît Burello. Il y a eu trois albums depuis 1997, et le projet existe toujours ; il n’est pas très actif en ce moment mais… C’est le meilleur groupe français de tous les temps… avec Binoculars ! (rires)

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Binoculars


C’est la musique de mes seize ans. Pas celle que j’écoutais, mais celle qui tapissait ma boîte crânienne quand elle se laissait posséder par l’imagination. Pour un gamin, tout au loin semble facile. Nul besoin de gonfler les poumons ni de bander les biceps. Le simple fantasme d’une expédition créative accouche d’images assez nettes et de sons diffus. Le background musical de ma puberté, je l’éprouvais sans vraiment l’entendre.

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Dès que j’ai découvert « Here Comes », j’ai su que Binoculars jouait cette musique mentale. Une pop qui imprègne le cerveau, directement, sans traverser l’air. Ces sons ne naviguent pas sur des ondes. Les objets dans la pièce restent sans mouvement. Rien ne vibre. Comme si vous écoutiez de la musique au casque, mais sans le casque, ou plutôt comme si le casque était un greffon.

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