Bert Jansch



BERT JANSCH


Bert+Jansch

L’idée de pouvoir un jour rencontrer le bonhomme, musicalement et humainement, m’a poussé davantage à pratiquer l’instrument qui pour lui a été dès son plus jeune âge un vieil ami.

Un sens de la mélodie hors du commun, des doigts puissants et une attitude décontractée. Une guitare ne pouvait que rêver de tomber entre ces mains avant qu’il ne la repose encore vibrante d’émotion. Rosemary Lane, 1971 un album de vie (« Bird Song »), de mésaventures (« Nobody’s Bar »), de rêves (« A Dream, A Dream, A Dream »), d’amour (« Tell me what is true love ? « ), toutes des chansons qui je sais me feront toujours la même impression.

Une simplicité qu’il faut rappeler en ces temps de « beats » acharnés. Traditionnel, folk, blues, la plupart du temps inclassable, voila du génie dont le monde aurait pu profiter, mais encore trop tard pour l’homme en question.

Par A. Richard

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