Gulcher
Si Gulcher était une forme ?
Alexandre Rouger : Une forme hybride.
Johan D : Ce serait un carré, un triangle et un losange à la fois.
Si Gulcher était un film ?
Alexander Faem : Il était une fois en Amérique. Quatre copains… Gulcher me fait toujours penser à ça.
Ronan Queffeulou : Mais ils se trahissent !
Alexander Faem : Oui, mais ils ont une histoire d’amour très forte entre eux.
Si Gulcher était un animal ?
Johan D : Un oiseau.
Alexandre Rouger : Ca représente bien la liberté…
Si Gulcher était une couleur ?
(Après une brève concertation) : Rouge comme le vin, ou ambré comme la bière.
Si Gulcher était une heure ?
Ronan Queffeulou : On est plutôt du soir. 20 heures, c’est bien. L’heure de l’apéro.
Alexandre Rouger : C’est tard pour un apéro.
Johan D : C’est la deuxième tournée !
Si Gulcher était un sentiment ?
Alexandre Rouger : L’ambivalence.
Alexander Faem : Je dirais que Gulcher est une sorte d’émotion intériorisée de chacun. Un mélange de pudeur et d’émotion très forte.
« Un mélange de pudeur et d’émotion très forte »
Si Gulcher était une devise ?
Alexandre Rouger : Rien n’est figé.
Si Gulcher était un objet ?
Ronan Queffeulou : Un ours en peluche avec un flingue, c’est pas mal.
Johan D : Il y a un côté un peu hybride finalement ! (rires)
Alexandre Rouger : C’est un peu losange. (rires)
« Il y a un côté un peu hybride finalement »
Si Gulcher était une réussite ?
Alexander Faem : Ce serait d’avoir sorti vingt albums quand on aura soixante ans…
Interview par Vivien Pertusot